En matière d’ulcères gastriques mieux vaut prévenir que guérir
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Résumé
Selon Mike Muray, spécialiste de l’EGUS * « tous les chevaux présenteront au moins une fois dans leur vie des ulcères gastriques, quelque soit leur race et leur activité ». Or, si 90% des chevaux de course présentent des ulcères gastriques, les chevaux de sport et les chevaux de loisir ne sont pas en reste. Le cheval, animal anxieux par nature, est prédisposé aux ulcères gastriques, en raison de la physiologie particulière de son estomac (sécrétion d’acide en continu) et de sa sensibilité aux changements.
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