Quel est le rôle du vétérinaire praticien dans le diagnostic différentiel des avortements non brucelliques
Auteurs
Résumé
La connaissance des recommandations en matière de prélèvements, de critères de diagnostic positif de certitude et des clés d’interprétation des examens indirects sont un préalable pour que le vétérinaire soit un acteur incontournable dans le contexte actuel où de nombreux partenaires sont en réflexion (DGAL, FNGDS-ACERSA et UMT avortements ONIRIS) ; c’est le premier objectif de cette présentation. Mais par sa formation, par sa connaissance de l’élevage, le vétérinaire est capable d’orienter des recherches complémentaires et d’émettre des hypothèses diagnostiques. Au travers d’une véritable visite d’élevage, comprenant une approche multifactorielle (épidémiologique, clinique, nécropsique de l’avorton), et l’examen des facteurs de risques, il est capable de travailler à l’élucidation de situations abortives complexes en élevage, notamment en cas d’avortements réguliers de prévalence élevée ; c’est le second objectif. . Enfin, le rôle d’épidémio-surveillance vis-à-vis des maladies infectieuses émergentes, fréquemment abortives, ne doit pas être occulté
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