Comparaison de deux types de prélèvements respiratoires chez de jeunes bovins atteints de maladie respiratoire. Nouvelles données sur la prévalence des agents pathogènes avec l’apport de la PCR.
Auteurs
Résumé
Les maladies respiratoires chez les jeunes bovins constituent encore aujourd’hui une dominante pathologique sur tout le territoire français [1] et impactent de manière importante l’économie des élevages [2]. La gestion des maladies respiratoires dans les élevages nécessite la prise en compte de tous les facteurs de risque. Une des étapes importante de cette démarche est le diagnostic des agents pathogènes présents dans l’élevage considéré. En effet, plusieurs études montrent l’existence de poly- infections virales et bactériennes [3]. Le diagnostic s’appuie sur des méthodes de laboratoire directes et indirectes. Pour les méthodes directes, différents modes de prélèvement sont disponibles pour le praticien et sont décrits dans ce document, avec leurs avantages et leurs limites. Une étude de terrain réalisée en France a permis de comparer ces deux modes de prélèvements, et d’apporter des données récentes sur la prévalence des agents pathogènes mis en évidence par PCR.
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